A l’heure où la cause féminine commence enfin à trouver un écho dans les médias au sens très large du terme, nous souhaitions vous proposer une interview d’une Cheffe Française, qui pourrait faire office d’exemple, de modèle, pour certaines de nos lectrices. En effet, dans le cadre de l’événement Land Rover autour d’une consommation (qu’il s’agisse de consommables pour véhicules où de gastronomie) plus responsable, nous avons eu l’occasion d’interviewer Amandine Chaignot. Ce dans le cadre de l’ouverture d’un restaurant éphémère, au cours duquel notre équipe a pu valider la qualité des mets préparés par la jeune femme, dans le registre des repas flexitariens. Rencontre.
Amandine Chaignot : un parcours de guerrière !
Le restaurant éphémère propose un menu flexitarien, c’est une cuisine qui suggère une consommation plus raisonnable de la viande. C’est donc Amandine Chaignot, cheffe du restaurant pouliche à Paris, qui s’est mise aux fourneaux, avec un menu signature. La carrière de cette cheffe est incroyable. Après ses études, elle travaille pendant 3 ans au Plaza Athénée à Paris, puis elle quitte la France direction l’Angleterre et l’hôtel Ritz pour continuer son métier. Cependant, elle reviendra en France pour travailler au « Meurice » ou encore à l’hôtel « le Cillon ». Maintenant, Amandine est cheffe de son propre restaurant nommé “Pouliche ». En 2013-2014, elle sera jurée de la saison 4 de Masterchef. La même année en 2013, elle est élue chevalière des arts et des lettres.
Voici l’interview d’Amandine Chaignot :
Comment et pourquoi avez-vous été attirée par ce type d’événement ?
Moi ce qui me fait marrer, ce sont les parallèles qu’on peut faire entre les problématiques d’un chef de cuisine et aujourd’hui une marque comme Land Rover, qui essaye de faire avancer les choses dans le bon sens. Il y a énormément de parallèles à faire comme la notion de durabilité. Mais aussi, essayer de réduire les consommations. Land Rover essaye de réduire la consommation d’essence, moi, j’essaye de réduire la consommation de viande.
Pour ce repas vous vous êtes donc tournée vers un menu flexitarien, pourquoi ce choix ?
Comme je l’ai dit, j’essaye de réduire la consommation de viande, que je compose avec des légumes ou encore des assaisonnements. Pour les 2 entrées proposées au menu, nous avons décidé d’utiliser des crevettes grises de Bretagne, mais aussi du hareng, car nous ne sommes pas des produits en voie de disparition. Mais l’idée, aussi de ce menu, c’est un petit clin d’œil au côté british de la marque. J’ai aussi beaucoup travaillé en Angleterre et les 2 poissons cités au-dessus, nous en trouvons beaucoup.
Avez-vous un lien particulier avec l’automobile ?
Pas vraiment, quand je suis à Paris, j’ai besoin d’être réactive et me faufiler partout donc je suis à vélo électrique. Néanmoins, quand je suis à la campagne, j’utilise beaucoup plus la voiture, pour aller à la pêche où aller me promener, pour moi la voiture, c’est synonyme de campagne et d’évasion.
Comment cette collaboration entre Land Rover et vous s’est déroulée ?
C’est Land Rover qui m’a contacté, je pense qu’il cherchaient une personne incarnant les valeurs du moins consommer et qui était plus respectueuse de l’environnement en consommant plus écoresponsable. J’ai ouvert un restaurant, il y a environ un mois qui se prénomme « Pouliche », dans ce restaurant tous les mercredis, la carte et 100 % végétarienne et le reste de la semaine nous nous limitons à 1 viande.
Avez-vous pu essayer cette Land Rover Evoque Flexfuel ?
Non, je n’ai pas encore eu l’occasion de tester cette voiture, mais c’est pour bientôt. Cet événement a déjà été repoussé plusieurs fois à cause de la pandémie mondiale. De base, ce repas devait avoir lieu au mois d’octobre 2021.
Merci à Amandine Chaignot d’avoir répondu à nos questions. Interview réalisée par Antoine Laran