L’industrie de l’électrique ne touche plus que le secteur de l’automobile mais aussi, celui du deux roues. Avec l’ Etrek, l’entreprise tricolore Electric Motion s’apprête à propulser une moto pour le moins ludique puisque proche d’un deux roues typé trial, ce qui se confirme sur le plan visuel. De plus, sa motorisation 100% électrique pourrait séduire un nouveau public…
Etrek : à l’aise en ville comme à la campagne
Avec l’arrivée de cette moto « de champs et de ville » munie d’un moteur électrique L3e-A1 (125cm3) , les utilisateurs jusqu’ici rebutés par l’entretien régulier que peut engendrer l’achat d’une moto devraient apprécier. Car, ici, la mécanique est limitée à son stricte minimum, tout comme l’autonomie, bien évidemment. Néanmoins, avec près de 70 km possibles avant recharge, cette dernière conviendra parfaitement à un usage citadin et/ou sur chemins de campagne, histoire de profiter de ses qualités « tout-terrain ».
Côté performances, le constructeur annonce un résultat offrant un meilleur rapport poids/puissance qu’une 125 cm3 classique. 98kg sur la balance, 85km/h en vitesse de pointe et 3 modes de puissance possibles (Sport, Standard et Eco), voici quelques unes des spécificités de la Etrek par Electric Motion. Plutôt prometteur sur le papier.
Disponible à la livraison dans dix pays, cette dernière a déjà su convaincre des personnalités telles Guillaume Canet, Jean-Bapiste Grange ou encore, le multiple vainqueur du Dakar sur quatre et deux roues, Stéphane Peterhansel. Il faut dire qu’ Electric Motion disposait déjà d’une belle notoriété, pour avoir suivi plusieurs pilotes en 2013 avant de remporter le championnat de France de trial en 2014, avec Bastien Hieyte. Une expertise, gage de sérieux, dans le cadre de cette nouvelle aventure « sans émissions de Co2″…
Côté tarif, enfin, l’ Etrek est commercialisée au prix de 8400 euros sachant qu’un bonus écologique de 670 euros est applicable.